Les inégalités environnementales en ville

Site: Plate-forme d'Enseignement de Nantes Université
Cours: Les modes d'action en anthropocène
Livre: Les inégalités environnementales en ville
Imprimé par: Visiteur anonyme
Date: mercredi 2 octobre 2024, 16:53

Description

1. A propos de la séquence

Acquis d'apprentissage

  • Connaître les contextes historiques des inégalités environnementales en zone urbaine
  • Donner des exemples d'inégalités environnementales urbaines actuelles
  • Connaître les raisons de l'inaction politique

2. Historicité de la question

Les inégalités environnementales sont fort anciennes, présentes par exemple dans la Rome antique et tout au long de l’histoireRéf. biblio. Elles structurent l’occupation et l’aménagement des milieux urbains, entre les bas et les hauts quartiers, les ruelles étroites, sales et cacophoniques et les villas au vert des patriciens, ou plus tard les « folies » aristocratiques en périphérie. L’environnement urbain reflète les organisations humaines et fait l’objet de régulations plus ou moins effectives selon les époques : assainissement et adduction d’eau, évacuation des déchets, verdissement et protection d’espaces naturels et boisés, interdiction de circulation des charrettes en journée (loi de Jules César pour Rome), assèchements, polders, canalisation et rectification des cours d’eau, déplacement des activités polluantes hors les murs, dédensification, avant la vague actuelle de politiques de re-densification, développement durable, transition, renaturation, adaptation au changement climatique, résilience, économie circulaire, etc.

Néanmoins ces aménagements ne bénéficient pas à tous les groupes sociaux, tandis que les installations polluantes, les infrastructures ou équipements indésirables sont un trait distinctif des quartiers ou îlots défavorisés, soit que les populations n’aient pas les moyens de les refuser, soit qu’elles y trouvent parfois refuge (bidonvilles, camps de gens du voyage). 

Bidonville, boulevard des poissonniers à Paris, 2017

André Feigeles - Wikimedia Commons

Raffinerie de Feyzin en banlieue de Lyon

Xavier Caré - Wikimedia Commons

Le processus de déport des pollutions, risques et nuisances s’observe en fait à deux échelles, locale et globale. En effet les politiques environnementales occidentales menées à partir des années 1970 ont déplacé les externalités environnementales sur des territoires qui n’étaient pas soumis aux mêmes régulations, à savoir les villes des pays en développement. Industries énergivores et polluantes, stockage ou traitement des déchets, activités extractives ont créé des univers urbains où l’accès (très variable) à la consommation s’assortit d’un prix environnemental et sanitaire élevéRéf. biblio.

On comprend dès lors que les inégalités environnementales urbaines sont essentiellement le produit des politiques publiquesRéf. biblio, que ce soit dans les nords ou les suds. En vertu d’une approche techno-centrée de l’environnement, les politiques environnementales ont souvent été régressives sur un plan social, en ignorant les enjeux de justice liés aux problématiques environnementales. L’étanchéité entre questions environnementales et sociales a permis au statu quo de fonctionner sans entraver le modèle économique productif, c’est-à-dire sans mettre en cause ses conséquences socio-environnementalesRéf. biblio. Cette dissociation a eu un autre effet redoutable : elle a rendu les politiques environnementales et la transition écologique illégitimes aux yeux d’une bonne partie de la population, qui n’en bénéficie pas et/ou en redoute les effets. Une fois écarté le danger, la croissance économique et le techno-solutionnisme ont repris leur cours imperturbable, avec leur cortège de conséquences délétères en termes écologiques, sociaux et politiques. Une écologie impopulaire a grandi ainsi dans l’ombre de l’indifférence aux écologies populaires, délégitimant et paralysant l’action environnementale avec plus d’efficacité que tous les lobbyistes et marchands de doute réunis.

2.1. Convergences des échelles et chaînes d'inégalités

La disparité évidente des cadres de vie et de travail ne recouvre pas la notion d’inégalité environnementale, qui réfère à une injustice environnementale, c’est-à-dire au traitement différencié de populations en fonction de leurs statuts sociaux, racisés ou minorisés. Les niveaux d’exposition aux polluants, aux nuisances et aux risques, mais aussi les aménités, diffèrent du tout au tout entre :

  • les agglomérations des nords et des suds,
  • les enclaves des nords dans les suds (quartiers ex-coloniaux notamment) et
  • les territoires des suds dans les nords (quartiers sociaux ou multi-ethniques).

Il est important de comprendre les convergences entre les échelles, les processus, et les chaînes qui relient ces inégalités, les mobilisations pour la justice environnementale ayant été portées par des groupes dominés, colonisés, racisés ou minorisés. 

Les injustices environnementales ont été progressivement révélées par les luttes et la littérature post-coloniales avant d’être appréhendées à l’échelle locale et urbaine, dans le sillage des droits civiquesRéf. biblio. En Inde, en Afrique ou en Amérique latine, un ensemble de travaux ont dénoncé les spoliations et pollutions dues à une colonisation extractiviste (Galaneo, 1971). « L’environnementalisme des pauvres » défendu par Ramachandra Guha et Joan Martinez-Alier (1997) a permis de systématiser l’analyse en montrant les différentes facettes des injustices environnementales au sein des rapports nord-sud : importation et accaparement des ressources « naturelles » (bois, minéraux, énergies fossiles, esclaves, plantes médicinales, …) depuis la colonisation, mise en culture des terres et littoraux annexés, exportation de déchets toxiques et activités à risques, etc. Joan Martinez-Alier relaiera l’idée d’une dette écologique des pays occidentaux envers ceux des suds, qui aurait constitué le socle de leur développement.



Une seconde lecture, plus urbaine, de l’injustice environnementale s’est forgée aux Etats-Unis à partir de l’affaire de Love Canal (1976 : découverte d’une décharge de produits chimiques toxiques dans la banlieue de Niagara Falls) , qui donna naissance à un mouvement populaire anti-toxique, nourri également par des catastrophes environnementales dans les suds -agent orange au Vietnam, explosion d’une usine chimique à Bhopal, etc.Réf. biblio. On découvre peu après aux Etats-Unis l’ampleur des surexpositions aux risques et polluants des populations des suds dans les nords : 3 africains et hispaniques sur 5 vivraient à proximité de sites émettant des rejets toxiquesRéf. biblio. On ne sort pas des rapports de domination nord-sud mais la géographie se fait fractale… Les mobilisations urbaines qui prennent leur essor dans les années 1980 montrent les discriminations raciales poussant les minorités vers des environnements « toxiques » et fondent le mouvement pour la justice environnementale, en brandissant un étendard que les luttes post-coloniales n’avaient pas réussi à lever.
Protestation à Love Canal, 1976

Domaine public

Le chaînage entre inégalités nord-sud et urbaines se rejoue de manière aigüe face aux menaces du Global Change et aux difficultés ou à l’impossibilité de s’adapter, qui font advenir d’autres raisons de migrer. Rappelons tout d’abord que la quasi-totalité des morts et victimes dus à des désastres dits naturels, en particulier climatiques, se situe dans les pays en développement, faute de protections collectives; au premier rang desquelles, l’insécurité foncière et l’habitat informel en ville, dont les matériaux se révèlent incapables de protéger des agressions climatiques, pas plus que de nombreuses pollutions, intérieures (charbon de bois pour la cuisson) et extérieures. Est également en cause l’urbanisation de zones impropres à la construction, particulièrement à risques. Enfin, et plus en aval, l’absence de plans de gestion de crise, de mesures d’évacuation des populations, puis d’accès aux soins décuplent les risques. Les pays les plus sujets à une économie extractiviste sont ceux où l’éducation et la représentation politique du peuple sont les plus faibles, en conséquence de quoi les mécanismes de pression sur les gouvernements pour assurer des formes minimales de protection sont inexistants, expliquent Roberts et Parks (2007).

L’absence d’horizon de vie conduit parfois les populations à migrer un cran plus loin, vers les métropoles occidentales. La disparition pure et simple de certains milieux de vie, archipels, deltas, etc., ou les multiples dégradations dont ils font l’objet exacerbent aujourd’hui la question migratoire, l’exode rural puis l’exode inter-urbain. Un jeu de chaises musicales s’observe entre des migrants des suds qui gagnent les métropoles occidentales dans l’espoir d’une émancipation économique et culturelle, et des citadins fuyant ces milieux métropolitains en raison de crises multidimensionnelles (économique, écologique, sanitaire). Mais cette forme d’adaptation extrême qui consiste à changer de milieu coûte que coûte, n’est pas donnée à tou.te.s. Les inégales capacités à évacuer des milieux de vie dégradés ou condamnés à court ou moyen termes laissent la majorité la plus pauvre des citadins captive et sidérée. L’ouragan Katrina, à la Nouvelle-Orléans, l’a tristement démontré, les afro-américains n’ayant pas eu les moyens de fuir (ménages peu motorisés) et étant sur-représentés dans les zones inondables, le centre-ville et les banlieues gagnées récemment sur les marais du delta du MississipiRéf. biblio.

2.2. Les inégalités environnementales urbaines au quotidien

Au sein des villes des pays développés, des risques spécifiques affectent les populations vivant à proximité des industries, en première couronne métropolitaine ou dans des villes n’ayant pas renoncé à une spécialisation industrielle. A une échelle plus fine, les secteurs qui accueillent des équipements à risques ou de grandes infrastructures de transports peuvent exposer les riverains à des problèmes de santé environnementale. Un second type de surexposition potentielle est lié à des héritages historiques : passifs industriels, miniers, militaires, bas quartiers, ... Sans oublier une géographie urbaine des risques « naturels » (inondations, glissements de terrain, submersions,…).

Dans les villes issues de la colonisation occidentale, les inégalités environnementales s’expriment particulièrement dans les secteurs d’habitat informel. Les villes d’Afrique subsaharienne en sont emblématiques, l’emprise des inégalités environnementales et l’ampleur des dégâts qui y sont afférents s’y lisent au quotidien, exacerbées par le changement climatique. Face à la rapidité de la croissance urbaine et au déficit de logements, les constructions spontanées s'étendent aux périphéries, le long des axes routiers sur de grandes distances, et sur des terrains inaptes à une urbanisation conventionnelle (fortes pentes, zones inondables, habitat sur pilotis en milieu lacustre, etc.). La population des bidonvilles est estimée par l'ONU à environ un milliard d’habitant.e.s en 2020, soit plus d’une personne sur huit au niveau mondial, vivant dans des conditions périlleuses. David Satterthwaite indique que les deux tiers des citadins d'Afrique subsaharienne n'ont par exemple pas accès à l'eau courante en 2015.

Bidonville de Makoko au Nigeria

Seun Sanni - NDLA - CC-BY-NC

L’accès aux ressources et aménitésDéf.environnementales est une autre composante majeure de l’inégalité environnementale : accès à de l’eau potable, à un air respirable, à une quantité et qualité d’énergie non préjudiciable à la santé, garantissant un niveau de sécurité environnementale de base et répondant à des besoins physiologiques ; mais aussi, accès à la nature et aux aménités environnementales, qui prennent des visages différents selon les époques et les cultures. L’on sait néanmoins aujourd’hui que la fréquentation régulière d’une forme de nature (bois, jardins, …) est un facteur essentiel de récupération de la fatigue mentale et de santéRéf. biblio. L’accès à la terre pour les citadins, à un bout de jardin individuel ou collectif, met également en jeu une réappropriation de la fabrique environnementaleRéf. biblio.

Ceci dit, il n’est pas toujours possible de superposer haute ou basse qualité environnementale et types de classes sociales. Car la pondération des valeurs environnementales (aménités, risques, pollutions, nuisances) diffère selon les contextes urbains, les cultures, les catégories sociales et les individus. Certaines aménités peuvent être synonymes de risques, comme une vue sur mer ou sur berge, ou bien la proximité d’un grand parc, favorisant la stagnation des polluants atmosphériques urbains. La qualité perçue ne correspond pas à la qualité objectivable de l’environnement mais aux vécus environnementauxRéf. biblio.

Un autre élément de trouble est la discordance entre qualités perçues de l’environnement social (proximité des bons établissements scolaires) et de l’environnement écologique. La recherche de centralité fait couramment accepter certains niveaux d’exposition au bruit et aux polluants atmosphériques par des franges aisées de la populationRéf. biblio. A l’inverse, les espaces verts peuvent être répulsifs s’ils sont associés à la présence de grands ensembles, comme au Havre. Cette complexité n’enlève rien au fait que les règles du jeu foncier assurent un tri des populations en fonction de la qualité globale de l'environnement résidentiel.

2.3. Des inégalités urbaines peu conscientisées et en attente de politisation

Les chassés-croisés de populations qui s’intensifient et s’intensifieront dans une période de destruction écologique, la colère et l’éco-anxiété des jeunes générations les plus informées, les incidences considérables sur un plan politique et psychique de ces évolutions, ne changent rien à l’affaire : les inégalités environnementales urbaines restent peu conscientisées et politisées. Les ressources et menaces environnementales sont en effet tributaires des perceptions, sensibilités et représentations, des informations et connaissances dont sont dotées les populations. Elles sont avant tout socioculturelles et subjectives, bien que leur matérialité affecte durement la santé, les conditions de vie, l’espérance de vie et la possibilité de déployer une vie qui a du sens.

L’invisibilisation des risques et des nuisances, ou le déni, ont souvent occulté les inégalités environnementales, au motif de la préservation de l’emploi, comme le montre par exemple le film intitulé « Rouge », réalisé par Farid Bentoumi en 2020 URL externe. Les élus des communes défavorisées ont considéré les installations polluantes comme des sources importantes de revenus qu’ils n’auraient pas eu les moyens de refuser -d’autant que les syndicats, les partis, les ouvriers ou les médecins du travail ne s’y sont pas ouvertement opposésRéf. biblio, se satisfaisant de compensations financières liées à la taxe professionnelle. Un second effet de masque est dû à l’ancrage territorial de l’habitant.e., à son attachement au lieu et à l’usine, à la vie de quartier, qui forgent une identité spatiale, un sentiment communautaire, une loyauté. La valorisation de l’environnement quotidien l’emporte alors sur les représentations négatives des lieuxRéf. biblio.

Briser le mur du silence nécessite un ou des accès à l’information et à la connaissance qui sont eux-mêmes profondément inégalitaires, et qui peut se révéler d’autant plus inconfortable que les contraintes qui pèsent sur la vie quotidienne sont fortes. Passé un certain seuil de conscience, d’inégales capacités de défense entrent en jeu : interpellations ou actions politiques, recours juridiques, conduites d’évitement, d’autoprotection, fuite ou médicamentation, par exemple. Les groupes sociaux et les individus transforment aussi directement leur environnement pour en accroître les ressources (physiques et/ou psychiques) ou en atténuer les menaces, in situ ou encore en migrant. 

La restauration de qualités environnementales par les populations elles-mêmes est sans doute l’une des rares réponses politiques existantes face aux inégalités environnementales, et peut enclencher un processus d’empowerment écologiqueRéf. biblio. Elle concerne ceux qui n’ont pas les moyens ou la volonté de fuir la dégradation de leur environnement de vie ou de travail, et qui tâchent de faire face là où ils sont. Les capacités de fuite et mobilité d’une part, de mobilisation politique ou infra-politique de l’autre, déterminent au final le paysage des inégalités environnementales urbaines.

3. Idées d'activités

Pistes de travail et de réflexion

  • Comment améliorer les conditions de vie d’une diversité de populations, et non pas des classes dominantes, en respectant les rapports à l’environnement des différentes cultures urbaines ?
  • Comment redimensionner les empreintes écologiques et carbone des populations les plus aisées ? Des modes de vie matériellement sobres sont-ils possibles en ville ?
  • Des politiques socio-environnementales peuvent-elles restaurer les environnements les plus déqualifiés, en recherchant un empowerment des populations ?

Ces questions peuvent également être utilisées pour appuyer l'analyse d'un éco-quartier (Etude de cas)

4. Ressources complémentaires

Références bibliographiques / webographiques

Ouvrages
  • Blanc N., Emelianoff C., Rochard H., 2022. Réparer la Terre par le bas. Manifeste pour un environnementalisme ordinaire, Le Bord de l’eau, Paris.
  • Byrne J., Glover L., Martinez C. (ed.), 2002. Environmental justice. Discourses in International Political Economy, Energy and Environmental Policy, volume 8, Transaction Pub., New Brunswick, London.
  • Emelianoff, C., 2022. Inégalités environnementales, in : Marchand D., Weiss K., Pol, E. (eds), Psychologie de l’environnement : 130 notions clés, Dunod, Paris, p 134-137.
  • Guha R., Martinez-Alier J., 1997. Varieties of Environmentalism. Essays North and South, Earthscan, London
  • Moser G., Weiss K. (dir.), 2003. Espaces de vie. Aspects de la relation homme-environnement. Armand Colin, Paris.
  • Roberts T., Parks B., 2007. A Climate of Injustice, MIT Press, Cambridge, London.
  • Szasz A., 1994. Ecopopulism. Toxic Waste and the Movement for Environmental Justice, University of Minnesota Press, Minneapolis, London
Articles
  • Duclos D., 1987. La construction sociale du risque : le cas des ouvriers de la chimie face aux dangers industriels, Revue française de sociologie, Vol. 28, n° 28-1, p. 17-42.
  • Emelianoff, C., 2010. Les inégalités écologiques et environnementales, au point de rupture d’un modèle de développement ? Urbia, 11, décembre, p 181-202
  • Faburel G., 2010. Inégalités et justice environnementale, in : Coutard O., Lévy, J-P. (dir.), Ecologies urbaines, Paris, Economica-Anthropos, p 214-236
  • Kaplan S., Kaplan R., 1995. The restorative benefits of nature towards an integrative framework, Journal of environmental psychology, 15, p 169-182.
  • Pellow D. N., 2000. Environmental Inequality Formation: Toward a Theory of Environmental Justice, American Behavioral Scientist, Vol. 43, 4, p 581-601.
  • Theys J., 2007. Pourquoi les préoccupations sociales et environnementales s’ignorent-elles mutuellement ? Un essai d’interprétation à partir du thème des inégalités écologiques, in : Cornut P., Bauler T., Zaccaï E. (ed.). Environnement et inégalités sociales, Editions de l’Université de Bruxelles, Bruxelles, p 23-35.
Rapports
  • Diebolt W., Helias A., Bidou D. et Crepey G., 2005, Les inégalités écologiques en milieu urbain. Rapport de l’Inspection Générale de l’Environnement, Paris.
  • Laigle L., 2004. Les inégalités écologiques de la ville : analyse comparée des situations, des actions et des dynamiques urbaines, rapport de recherche PUCA/MEEDDAT, Centre Scientifique et Technique du Bâtiment, Paris.
Conférences
  • Emelianoff C., Blanc N., 2009, La requalification environnementale, un levier d’empowerment ? Conférence internationale UNESCO/UNHABITAT L’empowerment de la société civile dans les politiques urbaines : pour qui? Pour quels projets ? ENTPE, Porquerolles, Igesa, 31 octobre-2 novembre
  • Zaninetti J-M., 2008. Etalement urbain et vulnérabilité aux risques naturels à la Nouvelle-Orléans, Actes du colloque international pluridisciplinaire "Le littoral : subir, dire, agir" - Lille, France, 16-18 janvier 2008.

Pour aller plus loin...

Film
  • Rouge, de Farid Bentoumi, 2020
Videos

5. Crédits

Cette leçon fait partie du Socle commun de connaissances et de compétences transversales sur l'anthropocène (S3C), produit par la Fondation UVED et soutenu par le Ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche.

Logo de la Fondation UVED Logo du Ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche

Elle est mise à disposition selon les termes de la Licence Creative Commons - 4.0 International : Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale - Partage dans les Mêmes Conditions

Licence Creative Commons

Pour la formation continue ou professionnelle, les modalités d’usage sont à déterminer avec UVED et doivent faire l’objet d’un contrat définissant les conditions d’usage et de commercialisation. Contact : s3c@uved.fr

Première édition :  octobre 2023
Dernière mise à jour : décembre 2023