Mise en page
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LA MISE EN PAGE
Lorsque l’on parle de mise en page, on pense immédiatement à l'impression papier.
On peut s’interroger sur la question d’une page web : elle est faite avant tout pour être lue à l’écran, mais si on l’imprime, comment la page sera-t'elle découpée sur les différentes feuilles ?
On voit ainsi que pour aborder la question de la mise en page, on ne peut pas se limiter à ce qui s’affiche à l’écran lorsque l’on travaille sur le document ; on doit aussi s'interroger sur son comportement lors de l’impression.
Commençons par un tour d’horizon des propriétés des pages.
En réglant ces propriétés, on traduit des éléments de charte graphique qui concernent non pas les éléments de contenu du document, ce qui relève plutôt de la mise en forme, mais la façon dont ce contenu se présente sur la page.
Tout d’abord elles ont des dimensions “extérieures” : le format A4, 21 cm par 29,7 cm est le plus courant, mais on trouve aussi des proportions un peu différentes dans les pratiques anglo-saxonnes, US letter par exemple.
Elles sont orientées en Portrait (vertical) ou en Paysage (horizontal).
Le contenu de la page s'étendra rarement sur toute la page : on ménage des marges dont on peut choisir les dimensions.
Sur chaque page, on pourra faire se répéter des éléments dans les marges : les en-têtes et pieds de pages.
Enfin, la façon dont le contenu s’organise dans la page relève aussi de la mise en page ; par exemple on pourra avoir un texte qui se répartira sur deux colonnes.
Tous ces choix se traduisent directement à l’écran.
En ce qui concerne les textes, on rencontre des situations où la mise en page doit être adaptée en fonction du contenu.
Par exemple, si on a une illustration très large, il est dommage de l’imprimer en orientation Portrait car elle sera moins lisible … mais ce n’est pas une raison pour imprimer tout le document en Paysage, on peut tout à fait avoir différentes orientations au sein d'un même document.
De façon très générale, les en-têtes et pieds de pages sont des zones du document situées dans les marges du haut et du bas, et qui permettent de répéter un même élément sur toutes les pages.
On utilise très souvent des champs ; ces derniers seront traités automatiquement par le traitement de texte.
L’exemple le plus immédiat est le numéro de page, qui est un champ automatique.
Mais il y a aussi la date du jour, qui se met à jour automatiquement et permet de savoir quand on a imprimé un document.
On trouve des mises en page prédéfinies variées, pour répondre à la plupart des besoins de l’auteur.